Tome 3 : La nuit de la louve
Aléa est le samildanach. Le dernier enfant de Saîman. Sur l’île de Gaelia, partout, le feu de la haine déferle, pendant que la magie lentement disparaît. Il faut sauver les silves, retrouver la louve blanche chassée par les hommes, comprendre le sens de la Moïra et des trois prophéties et surtout préparer le monde de demain. Une guerre, deux êtres, trois prophéties. Peut on tout sacrifier au nome de la liberté ?
Dans ce dernier tome, nous sommes au cœur de la guerre, toutes les contrés, même ceux qui veulent rester neutre seront concernés.
Aléa va gérer cette crise et accomplir les trois prophéties. Peu à peu 2 clans s’opposent dans un affrontement final. Je déplore d’ailleurs le nombre trop important de pages lié aux conflits eu détriment de la magie. Le peuple des forêts n’est présent qu’à la fin où un beau comte nous est raconté, clôturant et expliquant la place d’une louve blanche qui nous suit pendant ces trois tomes. Ce 3° volet a des scènes de violence sur les loups qui m’ont été pénible à lire, même si elles sont utiles à l’histoire. La Aléa qui mène la stratégie du combat est bien loin de cette jeune fille du début, je garde un bon souvenir du nain qui apporte un touche de fraîcheur dans cette histoire bien trop sérieux pour une jeune fille de 13 ans. Les mondes fantastiques aperçus dans le 1° tome ne sont, à mon goût, pas assez présent par la suite.
C’est un fantazy facile à lire, il a été aussi édité en littérature jeunesse en 6 tomes. Il peut être lu par ceux qui veulent découvrir la fantazy. Certains y ont trouvé de l’ennui, moi, je trouve au contraire que c’est simple et clair, bien moins complexe que le seigneur des anneaux, et tout aussi intéressant.