MyaRosa Langue pendue
Nombre de messages : 2323 Age : 36 Localisation : Clermont-Ferrand Date d'inscription : 18/10/2009
| Sujet: Nous vieillirons ensemble de Camille de Peretti Sam 14 Nov 2009 - 2:31 | |
| Dimanche 1er octobre. Une journée comme les autres aux Bégonias, une maison de retraite de la banlieue parisienne. Il est 9 h 15. Nini, la vieille excentrique, attend la visite de sa petite Camille, sous l'oeil attendri et bienveillant de Josy, l'auxiliaire de vie cartomancienne. Louise Alma ressasse quatre-vingt-douze années de souvenirs. Jocelyne Barbier, la bureautière, et Marthe Buissonette, la femme de pasteur, reprennent leur querelle quotidienne. Robert Leboeuf couvre Thérèse Leduc d'un regard plein d'espoir. Le capitaine Dreyfus prépare sa grande évasion... Et les familles des résidents accomplissent, bon gré mal gré, leur devoir dominical. La vie s'écoule doucement entre joie et souffrance, amitié et solitude, amour et ennui, maladie et envie. Camille de Peretti propose, avec son acuité habituelle, une immersion insolite et bouleversante dans l'univers singulier des maisons de retraite. | |
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petitepom Langue pendue
Nombre de messages : 1625 Age : 58 Localisation : corrèze Date d'inscription : 20/07/2007
| Sujet: Re: Nous vieillirons ensemble de Camille de Peretti Sam 14 Nov 2009 - 10:19 | |
| j'ai oublié de mettre mon avis :
Nous sommes au cœur d’une maison de retraite, d’heure en heure, on suit différent pensionnaire dans leur déplacement hebdomadaire de leurs chambre à la salle d’activité N° 2 en passant par le hall d’entrée ; alors qu’on pénètre dans une salle, chaque personnage qui s’y trouve nous fait part de ces soucis comme si on était un fantôme télépathe.
On pourrait pense que l’on s’ennuie dans un maison de retraite mais là je dois dire que j’ai souri à suivre les divagations des patients, du directeur, de l’infirmière ou de la famille qui leur rend visite ; les problèmes sont ceux de la vie courante, l’histoire n’a rien d’extraordinaire, elle nous raconte le vie de tout à chacun avec ses peines et ses joies avec tendresse.
J’ai passé un bon moment, ce fut une visite agréable et je quitte presque avec regret ces charmants pensionnaires | |
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