Arlington Park de Rachel Cusk

Présentation de l'éditeur

Les femmes d'Arlington Park, une banlieue résidentielle cossue d'Angleterre, ont tout pour être heureuses: des pavillons coquets, des cuisines impeccables, le confort d'un quotidien douillet. Pourtant, Juliet, Amanda, Maisie et Solly semblent perdues en eaux troubles. Dans les moments de solitude, au supermarché ou dans une cabine d'essayage, elles dévoilent leur conscience et leurs pensées.

Mon avis

Pourquoi j’ai acheté ce livre : un résumé qui m’a fait penser à Desperate Housewives et sur la couverture la phrase « La meilleure surprise de la rentrée littéraire ». Je pensais donc passer de bons moments avec ce livre.

Des morceaux de vie de plusieurs mères de famille qui s’interrogent sur ce qu’elles sont devenues. Pages après pages, on espère un peu d’action, on imagine le moment où elles vont se rencontrer, on finit par attendre que l’une d’entre elles ait le courage de tout plaquer. Au final, beaucoup de descriptions, on finit par s’ennuyer autant qu’elles et on referme le livre en se disant « je ne me marierai jamais et je n’aurai jamais d’enfant ».

pour ton avis il m'a tenté plusieurs fois j'ai toujours hésité on dirait que j'ai bien fait !

Ce livre se passe dans une banlieue chic de Londres où les femmes s’ennuient. En l’achetant, j’ai pensé à la série Desperate Housewives que j’aime bien.
Le début est périlleux, j’ai eu bien du mal à m’y retrouver, en effet, on passe d’une maison à une autre, il y a pas de suivi dans l’histoire. Quand 4 amies de cette banlieue décident d’aller faire des emplettes ensemble, j’ai espéré que le récit devienne intéressant, mais il ne se passe rien. Le chapitre suivant vous entraîne dans une autre maison où on observe la vie d’une femme tout aussi ennuyeuse
J’ai abandonné ce livre à la 165 pages et ce fut bien laborieux pour en arriver là. C'est la complainte de la femme au foyer qui déprime