Le Costume du Mort (Joe Hill)

Moi le coup des yeux raturés, ça me fait flipper !!!

Sinon, ce mois-ci, ce sera moi qui n'aura pas fini ses devoirs, ! Je me suis accrochée mais rien à faire...

Tout d'abord, je suis très étonnée que Caro n'ait pu aller au bout, c'est vrai quoi, j'ai l'impression qu'elle est capable de s'avaler n'importe quoi comme bouquin !!!

Alors, alors...
Pas assez de fantastique à mon goût (il est annoncé comme faisant partie de la littérature fantastique ce bouquin tout de même ! ), trop de lenteur, de longueurs et de descriptions... et pourtant j'ai beaucoup aimé !!!! (Je sais, il faut pas chercher à comprendre ) Peut-être est-ce l'ambiance particulière qui m'a, quelque part, " envoûtée ", hypnotisée ! De plus, au début du roman, je détestais le personnage principal, Jude, guitariste en fin de carrière. Mais au fil de la descente aux enfers qu'il vit, il m'est devenu sympathique et attachant. Comme si toute cette histoire, finalement, lui avait permis de faire un travail sur lui et l'avait amené à tenter de réparer ses erreurs. J'ai trouvé sa compagne, Georgia/Marybeth, bien courageuse et attachante. Elle l'a suivi dans tous ses déboires et son périple, alors qu'elle aurait très bien pu le laisser tomber.
Le côté fantastique n'est vraiment pas assez présent. Quelques scènes par-ci, par-là, mais j'avais plus l'impression que c'était un prétexte qu'autre chose et dans la grande scène finale, c'était tiré par les cheveux et un bon moyen pour se sortir miraculeusement d'une situation difficile !!! Mais, pour moi, ça a tout de même fonctionné.
Pour un premier roman, je le trouve plutôt prometteur mais il faut le lire sans penser aux bons livres de son père qui sont d'un niveau bien supérieurs à celui-ci...

Ben déjà j'ai détesté Jude dès la première page, quand à Georgia je l'ai trouvée inintéressante et vous commencez à le savoir les filles, si je n'aime pas au moins un des personnages principaux, c'est mal barré pour que le livre me plaise !

Ensuite je n'ai pas accroché au style et à l'ambiance de ce roman, je me suis vite ennuyée...En plus dimanche dernier je n'étais pas dans mon assiette donc pas eu envie de me forcer ! J'ai lu jusqu'à ce qu'ils s'en aillent de la maison et arrivent au motel mais là j'en pouvais plus, donc j'ai stoppé ! Peut-être que je le reprendrai un jour cela dit.

Par contre, j'ai dû louper un épisode, mais c'est qui son célèbre père, Catoche ?

Elizabeth-Bennet a écrit:

Par contre, j'ai dû louper un épisode, mais c'est qui son célèbre père, Catoche ?

Stephen King ! (oui, je sais, je ne m'appelle pas Catoche, et alors ?? ^^ )

Sinon pour ma part, avis mitigé. Contrairement à toi j'ai beaucoup aimé le personnage de Jude, mais au final je m'attendais à plus de frissons... Là, ça fait à peine peur, et la fin est somme toute très classique...

Ton avis rejoint le mien Aurore alors, sauf que moi je l'ai plus apprécié que toi !

Joe Hill est le fils de Stephen King ?!!! Et après, vous vous demandez pourquoi je n'ai pas aimé, !

On s'était bien caché de te le dire avant !

Vous le saviez avant qu'on commence la lecture ? Sérieux ?!

C'est sûr que si je l'avais su, je ne suis pas sûre que j'aurais même ouvert le livre. Je sais, ce n'est pas parce que je n'aime pas le père que je n'aurais obligatoirement pas aimé le fils...mais bon là il se trouve que c'est le cas, lol.

C'est donc établi : je suis officiellement allergique à la famille King, !


ps : c'est un sournois, ce Joe Hill. Pourrait s'appeler King, ç'aurait été plus pratique pour le repérer !

Elizabeth-Bennet a écrit:

ps : c'est un sournois, ce Joe Hill. Pourrait s'appeler King, ç'aurait été plus pratique pour le repérer !

Ignobles nous sommes ! ^^

Joe Hill a commencé à écrire sans dire qu'il était le "fils de", justement pour éviter les remarques désagréables du style "il n'écrit que parce que son père est connu"... Je le comprends, ceci dit. Fils de Stephen King, hum, ça met la pression dès le départ.

Vous aussi vous êtes des sournoises ! J'en reviens pas que vous m'ayez fait ce coup-là !

Je me sens affreusement trahie,