J’ai rencontré l’auteur en novembre dernier, lors de la foire du livre de Brive la Gaillarde, plutôt que de choisir » les déferlantes » le livre le plus populaire, j’ai préféré celui-ci, car le titre m’a plu. Claudie Gallay fut ravi de mon choix, m’affirmant qu’elle souhaiterait qu’il soit plus lu, elle a, je pense, un faible pour ce roman.
Quel mois plus tard, alors qu’il pleut à l’extérieur, je pioche ce livre dans ma biblio et me cale dans un fauteuil, 3h30 plus tard, je l’avais fini sans avoir vu l’après midi passé.
Ce livre est un hymne à l’amour et aux maux qu’il entraîne : alors qu’elle a cru mourir d’un chagrin d’amour, réalisant que l’on peu supporter cette souffrance, la narratrice part pour Venise sous la neige ; elle s’installera dans une pension, elle fera des rencontres intéressantes et accompagnera d’autres histoires d’amours …
Ce livre est rempli de tendresse, et de réalité, c’est une tranche de vie raconté avec une touche de douceur ; je me suis laissée bercer par cette histoire en déambulant dans les rues de Venise