Lilian Jackson Braun - Le chat qui ...

J'aime beaucoup cette série qui a pour héros un journaliste d'une cinquantaine d'années et ses 2 chats un peu sorciers. Elle démarre avec :

- Le chat qui lisait à l'envers
- Le chat qui mangeait de la laine
- Le chat qui aimait la brocante
-.......
- Le chat qui cassait la baraque (n° 26 de la série)



source images : Amazon

Le Chat qui lisait à l'envers est le premier livre de la série policière de Lilian Jackson Braun, dont les héros sont le journaliste Jim Qwilleran et le... chat siamois Koko !!!
Tous ces livres sont très faciles à lire et vous les trouverez dans la collection 10/18.

Citation :

Quatrième de Couverture - Le Chat qui lisait à l'envers

Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l'envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c'est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.

Citation :

Quatrième de couverture - Le chat qui mangeait de la laine

Nous retrouvons ici notre vieille connaissance Jim Qwilleran, chroniqueur au Daily Fluxion et son ineffable compagnon, le chat siamois Kao K'o Kung, dit Koko. Qwilleran se voit assigner le poste de rédacteur en chef d'un nouveau magazine de décoration, Le Gai Logis. Le premier numéro est un succès.
Malheureusement la maison qu'il avait choisie pour illustrer le journal est cambriolée. Une inestimable collection de jades disparaît et l'épouse du propriétaire meurt d'une crise cardiaque. Avec le second numéro, Qwilleran apprend à ses dépens la double signification du mot "professionnelle" et il commence à se demander si quelqu'un n'essaie pas de couler le magazine. Cependant, lorsque le décorateur David Lyne est assassiné, il décide de prendre l'affaire en main. Que signifie aussi la curieuse lubie de Koko de manger de la laine ? C'est pourtant grâce à cette manie que Qwilleran découvrira le fin mot de l'histoire et démasquera les coupables

Un autre opus vient de paraître :



Je me suis un peu lassée de cette série pourtant très bien écrite. Il faudrait que je m y remette.

Citation :

Dans la bonne ville de Pickax, " à six cents kilomètres au nord de partout ", célèbre cadre des aventures du chroniqueur Jim Qwilleran et de ses sagaces siamois, Koko et Yom-Yom, le mystère est de nouveau au rendez-vous. Le club théâtral donne depuis peu De l'importance d'être constant, la pièce d'Oscar Wilde, lorsque les représentations sont brutalement interrompues par la mort d'un des membres de la troupe dans un accident de voiture. Koko ne tarde pas à y flairer le parfum du crime. Ajoutons à cela la présence nouvelle en ville d'un séduisant comédien au passé ténébreux qui menace de devenir le rival de Qwill dans le cœur de Polly. Et il n'en faut pas plus au trio pour se lancer dans une enquête semée de peaux de banane...

Je suis ravie de voir que je ne suis pas la seule à avoir Presque tout lu. Moi aussi, je me suis un peu essouflée. Mais après une longue pause, je crois que je vais m'offrir les n° manquants (deux ou trois ??).

J'aime bien cette série pour son personnage principal, le journaliste rentier et surtout pour ses deux chats. Et en même temps, l'auteur nous fait découvrir toute une commaunauté, une petite ville du nord de nul part, où tout le monde se connait.

C'est sympathique tout plein pour faire une pause au milieu de lectures parfois plus coriaces.

Je note donc cette sortie.
Merci Anne.

J'ai tout lu... mais comme Anne, j'ai fait une pause à un moment parce que j'étais lassée ! Et puis, m'énervaient un peu, ces chats surdoués alors que les miens me paraissent franchement ordinaires !
Ceci étant, après la pause, j'ai pris autant de plaisir à cette série et là, je viens d'acheter le dernier...

Fafou

J'ai Le chat qui regardait les étoiles. J'ai bien aimé mais je trouve qu'il n'y a pas assez d'histoire.
J'adore le nom Kao Ko Kung

ça me fait rire parce que j'ai découvert cette série vraiment par hasard (acheter avant de prendre le train) et ma mère a un siamois qui s'appelle Kao ! bon, heureusement, il ne nous a jamais entrainé dans des enquetes avec cadavres à la clé ...

Je ne connaissais pas du tout, j'ai bien envie d'essayer le premier de la série, je vous tiendrai au courant

J'ai eu le coup de coeur pour cette série tout simplement grâce à la couverture et ensuite l'intrigue. Je crois tous les avoir et ensuite ma mère les empruntent. Une autre façon de lire des romans policiers très originales.

Afin de decouvrir cette série j'ai acheyé "le chat qui parlait au dindon", je le commence aujourd'hui, je suis curieuse de faire connaissance avec ses chats sudoués

je n'ai pas trop aimé, l'histoire est brouillon, je suis peut etre tombé sur un moins bon, je demanderai à la biblio le premier.

Attention, tous ne sont pas écrits par le même auteur. En effet Lilian Jackson Braun est décédée en cours de route si je me souviens bien (c'était une très vieille dame).

Donc les premiers sont très bien. Pour la suite, je ne sais pas du tout.

je viens de redecouvrir cette serie avec
Le chat qui lisait à l'envers
Résumé : Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure etant donnée qu'il ne connait rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-çi est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui même est brillant et satirique. Il possède un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung- Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maitres et sait lire à l'envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparement paisible des beaux arts, trois morts brutales se produisent et c'est grace au flair de Koko que Qwilleran decouvrira la verité.

J'ai découvert cette série avec "le chat qui parlait dindon", et je fus très déçu, le contenu est brouillon, je n'y comprenais rien. Face à l'enthousiasme de beaucoup pour ces drôles de chat, j'ai voulu retenter l'expèrience. Une amie forumeuse me confirma que les premiers de la série étaient très bien et les derniers de moins bonne qualité. Je choisis donc le premier. Je ne suis plus déçue, j'y ai trouvé une ambiance très british, des personnages attrayants et originaux sans parler du chat, acteur prinipal qui ajoute une touche de grâce. C'est avant tout cette ambiance qui fait tout le charme de ces romans, une lecture divertissante et reposante comme un dimanche à la campagne.

Je ne connais pas cette auteur ni ces livres !

bonne lecture Minas Noire