On ne peut pas dire que ce soit chiant.
On ne peut pas dire que ce soit bourré d'action : c'est un tableau, une peinture décrite de l'intérieure. On passe d'un personnage à l'autre en passant d'une narration omnisciente à un monologue intérieur unique en son genre.
Avant de l'ouvrir, j'avais lu "Les Heures" de M. Cunningham, et vu l'adaptation cinéma "The Hours". Cette première approche m'a suffisament "apprivoisée" pour que je m'inserre dans l'athmospère de Woolf. Et puis, ça me revient, j'avais eu quelques cours passionnant à son sujet en fac d'Anglais... mais j'étais assez peu attentive...