Dix minutes après l'amour de Christine Kerdellant

... un livre que je suis en train de lire en ce moment mais beaucoup beaucoup de mal à démarrer comme bouquin, l'histoire tire un peu en longueur sans vraiment démarrer, j'ai un peu de mal à accrocher à celui ci mais bon peut etre que vous l'avez lu et avez pensé un tout autre opinion

Pour ma part, dans la série Divertissement, j'ai vu beaucoup mieux...

Citation :

" Depuis hier soir, ma décision est prise :je me remets au sport. Et je remplace le Nutella par la margarine sur mes cinq tartines du petit déjeuner Je me suis donc couchée avec la bonne conscience de ceux qui savent que la révolution n'est plus qu'une question d'heures. " Sommes-nous toutes d'incorrigibles petites filles à la recherche du prince charmant ? Ou des adultes responsables à la recherche d'un bon père pour nos futurs enfants ? Marianne ne veut pas choisir. La trentaine éblouissante, elle décide de faire taire les mauvaises fées qui lui soufflent que son cas est désespéré : qu'aucun homme n'est capable d'affection dix minutes après l'amour. Après deux ans de célibat, elle part en quête de l'HIC (Homme Idéal Célibataire), espèce rare, qui n'est pourtant pas toujours aussi loin qu'on ne se l'imagine...
A quoi pensent les hommes après l’amour ? Journaliste dans un hebdo féminin, Eva, l’héroïne du roman de Christine Kerdellant, vient d’avoir trente-trois ans (vingt-neuf l’été) et s’interroge. Pas seulement là-dessus. Son mec, Julien, est parti il y a deux ans. Comment échapper à la solitude ? En allant avec une copine dans un club de célibataires. Elle y rencontre Martial, un flic. Il lui semble convenir comme « remise en jambes ». Il a une Harley. Il l’invite à la Coupole (salade de gésiers pour lui, carottes râpées pour elle). Ils vont chez elle. Elle simule l’orgasme. Rideau. Alors, que faire ? Se confier à William, dit Will, son MAG (Meilleur Ami Gay). Chercher malgré tout le HIC (Homme Idéal Célibataire). Se fier à l’astrologie. Mais l’astrologue d’Eva bâcle sa chronique. Aller voir ailleurs. Le journal emmène son équipe en Afrique du Sud, grâce à un sponsor. Il y a aussi un délirant voyage en Russie. Et si, dans un monde qui finit par ressembler à une cage trop petite, l’homme idéal était à portée de la main, bon à prendre…

Je l'ai lu me il ne me laisse pas un souvenir impérissable

Drôle par moments, long à d'autres

bon bah vu vos critiques je ne le prendrais pas celui la

Depuis le succès des Bridget Jones, on voit bcp de romans de ce genre qui sont souvent très décevants (de pâles copies ).

Je pense aussi que le succès des Bridget Jones peut s'expliquer par le fait qu'à cette époque, c'était un genre tout nouveau, les lecteurs ont toruvé cela frais et original, tandis que maintenant, ce genre de roman fait souvent figure de "réchauffé".

Je dis ça de manière générale bien sûr, il y a sans doute des exceptions