D'habitude elle écrit des romans (Les oiseaux se cachent pour mourir) et là elle sort un polar, idée lecture :
1965. Connecticut. Au HUG, centre de recherche neurologique, deux
employés découvrent, dans la chambre froide où l'on dépose les animaux
de laboratoire avant incinération, un sac contenant un corps sans tête,
coupé en deux...
Chargé de l'affaire, le lieutenant Carminé
Delmonico établit rapidement le lien avec des meurtres sadiques
récemment perpétrés. Toutes les victimes - des femmes - ont en commun
leur jeune âge et leur couleur de peau.
L'enquête piétine. Une
seule certitude, le coupable appartient au HUG. La tension monte en
ville sous la pression des activistes noirs, convaincus qu'il s'agit de
crimes racistes. Vite, un coupable, avant que d'autres corps ne
manquent à l'appel...
Née en 1937 à Wellington (Australie),
Colleen McCullough a suivi des études d'infirmière à Sydney puis à
Londres avant de se tourner vers le roman. L'auteur des Oiseaux se
cachent pour mourir (Belfond, 1977) et de La Maison de l'Ange
(l'Archipel, 2006) a puisé dans ses souvenirs - elle a travaillé dix
ans au département de neurophysiologie de l'Université de Yale - pour
signer ce premier roman noir, très noir...
Une intrigue menée avec brio. Sensations garanties !»
Publishers Weekly
Quelqu'un l'a lu ?