Dictionnaire amoureux de la cuisine de Ducasse

Présentation de l'éditeur
Les thèmes les plus chers à Alain Ducasse touchent à la Méditerranée et à son enracinement dans le Grand Sud, du Pays basque à la Riviera, dont les produits occupent une place essentielle dans sa création culinaire. Bien d'autres sujets lui tiennent à cœur, qui parlent d'authentique, d'esthétique et d'identité. Des thèmes qui s'attachent aux voyages et aux saisons, qui cernent la tradition et l'évolution, reviennent sur l'harmonie et la mémoire. Ses curiosités se lisent non seulement quand il parle de foie gras ou de turbot de bœuf ou de homard, mais aussi quand il nous livre ses émotions face à la nature et aux jardins, aux matériaux e aux objets, à l'art et à l'artisanat, aux odeurs et aux parfums. Ce Dictionnaire amoureux est une promenade au pays du bon et de l'excellence

Je me suis enfin plongée là-dedans (j'ai lu une grosse centaine de pages pour le moment), et je suis agréablement surprise! Je pensais que ça allait être très "donneur de leçon", mais en fait pas du tout!

C'est très agréable, ça met vraiment l'eau à la bouche. On peut regretter que l'enthousiasme de Ducasse porte en grande partie sur des produits hors de prix pour nous, mais sinon, ça me plait beaucoup

Je vous en dirai plus quand je l'aurais fini!

Lisa

Ouf! enfin fini le pavé de Ducasse (550 pages quand même!).

Je dois dire que l'enthousiasme de mon premier post est un peu tempéré : beaucoup de répétitions (des phrases entières), des entrées beaucoup moins intéressantes que d'autres, un goût du luxe ultime qui est un peu soulant à la fin (vous connaissez plus cher que la truffe noire? la truffe blanche d'alba, six fois plus chère, et véritable obsession du monsieur )

Par contre, les entrées concernant les produits m'ont bien plu, c'est bien documenté et on sent la passion.

Les entrées comme "tradition et évolution", "rencontres", "culture et curiosité" m'ont beaucoup moins intéréssée.

Pour conclure, ça reste positif, mais tout n'est pas excellent .

Et à l'éditeur pour les fautes qui ne sont pas vraiment des coquilles, comme "au plus au de son art", ou "sonner des ailes"...